(texte catherine tresson / musique yann féry & ch. guy / arrgts daniel casimir)
tu ne rêves plus sans arrêt le vent traverse la maison
chaque jour un jour de plus à la fin même la mort s’en va
l’idée tuante superlative de soi
ce harcèlement cette injonction sans voix
et pour mieux te descendre tu imagines même le luxe
de choisir la cible
trop vaste la tête qui fait de l’ombre aux pieds
comme s’ils ne savaient pas mieux qu’elle
où elle va
le revolver
la balle
la détente