(texte charlotte guy / musique yann féry & ch. guy)
viendras-tu ce week-end viendras-tu déposer
sur mes lèvres un baiser ou de l’air dans mes veines
adorable sorcier dont le sort me tourmente
il est cent heures passées je suis là frémissante
j’aime j’entends tes pas j’aime j’entends ta voix
l’autre soir à Baden tu m’as dit « tu es à moi »
fallait-il que l’on s’aime fallait-il ce convoi
ta peau contre la mienne je n’attends plus que ça
mon amour rends-moi belle encore une dernière fois
j’aime j’entends tes pas j’aime j’entends ta voix
quand le train serre les Hommes vers un ailleurs étrange
la fureur nous dévore adieu au téléphone
comme les temps se voilent et que l’amour se mure
nos promesses se noient dans un doigt de mercure
j’aime j’entends tes pas j’aime j’entends ta voix
viendras-tu ce week-end viendras-tu déposer
sur mes lèvres un baiser ou de l’air dans mes veines